Miwako Amasashi [terminé]

27 janvier 1833 au Japon
Dehors, tout est silencieux calme, rien n'oserai déranger ce lieux si unique par une si belle soirée. La neige tombe délicatement sur le sol et un épais mentaux neigeux ce forme sur le sol froid. L'air et glacial et une légère brise vient soulever la neige par endroit. Personne d'assez censé ne viendrait habiter ici. Personne sauf une famille. Dans l'immensité blanche, à travers les arbres, on peut apercevoir un vieux manoir. Le genre d'habitation qui serait réputé pour être hanté. La face extérieure semblait avoir subit les dommage du temps et un épais lierre recouvrait les façade, même si celui ci était couvert de neige en cette époque de l'année. Tout semblait désert, rien ne bougé, mais dans ce manoir à l'allure effrayante, on pouvait percevoir derrière les carreau une faible lueur.
Tout a coup le cri d'un nourrisson venait perturber ce calme. Je venais de naitre, je venais de devenir Miwako Amasashi. Même si en apparence ma famille paraissait normale nous étions tous des vampires. Mais pas n'importe lesquelles, nous étions des vampires de level B, de l'aristocratie, seule une petite goutte de sang humain avait souillez notre lignée. Mes parents eux en cet instant, avait un large sourire, j'étais un miracle pour eux.

Avril 1832
Voilà maintenant des année que les pauvres héritier du clan Amasashi espéré avoir un enfant. Mais rien n'arrivait, mes parents n'arrivait pas à avoir d'enfant. Ma mère étais surement la plus affectée. Lors de ses longues promenades dans les jardins somptueux de notre manoir, il n'était pas rare pour quelque serviteur de la voir verser quelques larmes, ce qui est pourtant chez les vampire très rare. Certaine rumeur racontait même qu'avant de tuer ses victimes, elle leur parler de ses soucis. Je ne suis pas vraiment certaine qu'ils l'écoutait, après tout ils savait qu'ils allait mourir et ils étaient terrorisés.
Mon père lui avait depuis longtemps renoncer à avoir enfin un héritier ou une héritiaire. Il s'était fait à cette idée, et avec le temps il l'avait accepté. Au fond de lui je suis sûre qu'il espérait qu'un miracle ce produise mais il préféré ne pas ce dire que tout pouvais arriver. La chute aurait été trop grande pour lui. C'était bien dommage qu'ils n'ait pas réussit à avoir d'enfant avant, j'aurais vraiment aimé avoir un frère ou une soeur, quelqu'un à qui parler dans mes moments de solitude.

C'est alors que un mois plus tard le miracle ce produit. Alors que ma mère semblait avoir réellement abandonné son désir de devenir mère, elle tomba enceinte . Dans le manoir la vie avait repris des couleurs. Tous préparaient mon arrivée avec impatience, j'étais le petit miracle, la petite princesse de la famille même si je ne pouvais pas encore en être consciente. Mon père avait déjà des projets grandiose pour moi, il me voyait déjà la femme d'un grand aristocrate...Je pense qu'il se faisait un peu trop d'illusion mais bon.

27 janvier 1838 :
Nous étions tous réunis pour fêter mes 5 ans. Je pense que j'avais passer les meilleures année de ma vie, je baignais dans l'insouciance, surprotégé par ma mère. Elle ne me lâchait jamais des yeux, et personne hormis ma famille ne pouvait m'approchait. De ses année là, mes souvenirs sont un peu flou mais je me rappelle des longues promenades que je faisais avec mes parents. Durant ses cinq année de ma vie, j'appris les choses essentielles de la vie, comme tout autre enfant. Bien sûr en comparaison aux stupides créatures humaines, j'étais toujours bien en avance sur eux.
Je me rappelais également, des bonshommes de neige construis lors des belles nuits avec mon pères

1838-2009
Mes les bonnes choses avait toute une fin, et l'insouciance de l'enfance laissa place à la dure réalité de la vie. Mes parents étaient très strict et étaient intransigeants sur les bonnes manières. Surtout que j'étais leur seul enfant, ils voulaient donc un enfant parfait. Durant les année qui suivirent je dus donc apprendre tout un tas de manière incroyable et toute aussi bêtes les unes que les autres. Au oui, un jour tout cela pourrait me servir, mais quand? Après tout il était très rare pour moi de quitter le manoir familial. En plus de cela, j'appris également le piano, le violon, la danse. Si je vouait une vrai passion à la musique, j'étais cependant très réticente en matière de danse. Je n'avais jamais étais très sportive. Bien sûr en comparaison des humaines j'étais très douée mais par rapport à ceux de ma race, j'étais vraiment nulle. Mais cela n'avait pas d'importance pour moi. Je faisais plaisir à mes parents et c'était tout ce qui comptais. Ils étaient très fier de moi et n'hésitait pas à vanter mes qualités à qui voulait bien l'entendre.

2010
Ce fut la première fois que j'en voulut réellement à mes parents. Ceux ci avait décidé de m'envoyer à la cross Académie. Je n'aurais rien dit si cela avait été une école de vampire. Mais il s'agissait d'une école mixte! Ils voulaient que moi, je cohabite avec de la stupide nourriture... Ils avaient vraiment dépassé les bornes. Mais leur décision était justifié. Il y avait la bas, Kaname-sama mais aussi tout un tas de fils et de filles de grande famille aristocrate. Avec le temps, j'avais fini par renoncer à protesté. Cela ne servait à rien, ils ne reviendraient pas sur leur décision quoi qu'il arrive. J'allais devoir m'y faire un point c'est tout. Je fis donc mes valises, je pris les plus beaux vêtements de ma garde robe, ainsi que mon nouvel uniforme. Je rajouta à tout cela ma trousse à maquillage, ainsi que quelque babiole auxquelles je tenais comme par exemple une vieille photo de mes parents. Je boucla ma valise et je partis.
C'étais un chauffeur de la famille qui se chargeait de m'accompagner jusqu'à la cross académie. Depuis mes montagne natale le temps me parut bien long, les heures se transformait en de véritable année. Puis enfin j'arrivai dans cette académie or du commun. On verrai bien ce qu'il s'y passerai.